vendredi 14 février 2025

Les Plus Belles Rencontres

 


Les plus belles rencontres sont celles
Qui arrivent un jour très ordinaire.

On traverse la vie l'air de rien
Avec nos habitudes bien pliées,
bien rangées.

Et un beau matin,
On trébuche sur un simple regard,
Un léger sourire,
Une intonation comme ci
Ou une lumière dans l'œil comme ça !

Et puis ...
Plus jamais rien comme avant.

Un Livre
Une Histoire

Marion Fritsch

jeudi 6 février 2025

Le Pari de l'Espoir !

Et si pour changer, on faisait le pari de l'espoir ?


Dans une situation complexe, contradictoire, voire chaotique, où s'effondrent les systèmes de référence et les principes d'équilibre qui ont fonctionné dans le passé, où se multiplient brusquement les facteurs d'imprévisibilité, où se mêlent, et parfois s'emmêlent, les forces de régression et les forces de renouveau, il est normal que l'on perde pied, que l'on prenne peur.


Mais alors, le pessimisme n'est pas plus fondé que l'optimisme. Il y a entre les deux, un choix à faire. En pleine connaissance de cause, choisir l'optimisme c'est décider que le pire n'est pas sûr, que l'action reste possible et que, dès lors, notre liberté consiste à tout mettre en œuvre pour faire prévaloir le mieux.


Aung San Suu Kyi, 

Femme d'État birmane, née le 19 juin 1945 à Rangoun, figure de l'opposition non violente à la dictature militaire de son pays, lauréate du prix Nobel de la paix en 1991, elle est de facto chef du gouvernement de 2016 à 2021

lundi 27 janvier 2025

Le Bonheur selon Tchouang-Tseu

Tchouang-Tseu, est un grand penseur chinois, moins connu que Confucius.  Maître du taoïsme qui a donné naissance à la sagesse, la culture, la poésie et aux arts martiaux que la Chine a développés, puis exportés dans le monde entier, son enseignement incite à sortir des cadres imposés, des règles sociales qui nous oppressent, et à trouver une profonde liberté. Il délivre ses enseignements d'une grande sagesse à travers de nombreux contes ou histoires courtes qui rendent tellement parlants nos biais de comportements que cela fait réfléchir.

Ce conte que j'ai trouvé sur le Web, parle des choix que nous faisons tout au long de notre vie et de l'importance de changer de chemin parfois quand on sent qu'on est plus en accord avec son cœur et son âme, Alors, il est nécessaire de s'aligner pour un mieux vivre.
"Faisons l'hypothèse d'une vie qui durerait 80 ans"




Au tout début, l’être humain dont nous parlons déborde d’enthousiasme ; son sac de voyage est bien lourd, rempli à craquer d’idéaux, d’ambitions et de nombreux espoirs.

Prêt à braver les épreuves et les dangers, il pose son pied sur la première marche, entamant son ascension. Et il grimpe ainsi jusqu’à l’âge de 20 ans, c’est-à-dire jusqu’au moment de faire ses premiers pas seul dans la société.

Il commence alors à en identifier les règles et constate que la société lui impose un bien lourd fardeau. Il lutte d’arrache-pied, mais déjà il éprouve de la fatigue.

À ce stade-là, qui voudrait encore porter tant de rêves sur son dos ? Il décide alors de s’en délester provisoirement et de s’occuper d’abord d’assurer le nécessaire, de se créer une situation.

« Je reprendrai mes rêves plus tard, se dit-il, j’en ai bien encore le temps. »  Il se sent aussitôt beaucoup plus léger et poursuit donc son chemin. Il continue à prendre de l’âge.

La fatigue s’accumule, la lutte s’intensifie, les soucis se multiplient. Inévitablement, il commence à se plaindre. Il se sent trahi par la société, il a beaucoup trop donné de sa personne, la récompense est bien faible. Il panique et le doute s’installe. Mais, tout en maugréant il poursuit son chemin.

À 40 ans, l’âge auquel, dit Confucius, on n’éprouve plus de doutes, ce qui jadis le faisait déborder d’enthousiasme n’est plus. L’homme est épuisé, abattu. Il s’appuie désormais sur les autres pour poursuivre son chemin.

Ayant atteint l’âge de 60 ans, il se dit que le soir de la vie doit être bien beau, qu’il faut le chérir. Il décide alors de s’apaiser et de cesser de se plaindre. Ce stade de la vie correspond à celui où – là encore citons Confucius – l’homme pénètre le sens profond de ce qu’il entend. Désormais son coeur est à l’écoute, les reproches n’ont plus lieu d’être.

Enfin, l’homme atteint l’âge de 80 ans. Arrivé à cette autre extrémité de son existence, ressentant soudain une immense déception, il se souvient que ce à quoi il tenait le plus dans la vie, il l’a laissé dans le sac de voyage de ses vingt ans.

Tous ces rêves qu’il n’a jamais réalisés, auxquels il n’a jamais laissé libre cours, qui ne l’ont jamais accompagné. Toute cette vie, il l’aura parcouru en vain. Mais, ses 20 ans sont partis à jamais, car sur le chemin de la vie on ne peut retourner sur ses pas. »

Un bon conseil, n'oubliez jamais vos rêves, on n'a qu'une seule vie ! 

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Merci Myriam

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