Et si pour changer, on faisait le pari de l'espoir ?
Dans une situation complexe, contradictoire, voire chaotique, où s'effondrent les systèmes de référence et les principes d'équilibre qui ont fonctionné dans le passé, où se multiplient brusquement les facteurs d'imprévisibilité, où se mêlent, et parfois s'emmêlent, les forces de régression et les forces de renouveau, il est normal que l'on perde pied, que l'on prenne peur.
Mais alors, le pessimisme n'est pas plus fondé que l'optimisme. Il y a entre les deux, un choix à faire. En pleine connaissance de cause, choisir l'optimisme c'est décider que le pire n'est pas sûr, que l'action reste possible et que, dès lors, notre liberté consiste à tout mettre en œuvre pour faire prévaloir le mieux.
Aung San Suu Kyi,
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